« Somptueux ! Il n’est que d’entendre les premières mesures de la première de ces deux magnifiques sonate pour se rendre compte qu’on est en présence d’une interprétation exceptionnelle. Le phrasé, le dessin du détail autant que le rayonnement de l’ensemble, la tension poétique de ce chant, tout contribue à faire de ce disque un événement »
– L’Évènement du Jeudi – 13 décembre 1990
« Suzanne Ramon un pur sang qui en veut… Elle nous le prouve ici, elle est, sans conteste, une forte personnalité : son allant, sa témérité, son expressivité font rage dans ce Brahms – qui ne demande que ça. Une interprétation haute en couleurs, haute en amour, haute en joie. Avec Ramon et Collard, on pleure, on rit, on chante, on danse et Brahms tombe la veste et enlace ses deux belles interprètes »
– Télérama – 15 mai 1991
« C’est la violoncelliste qui mène la danse, arrachant au violoncelle des phrases d’un lyrisme exalté, modelées dans un son d’une richesse et d’une densité qui ne doivent pas qu’aux qualités intrinsèques de l’instrument. De cette collusion entre deux très forts tempéraments jaillit un Brahms bouillonnant, ardent, presque latin, qui, pour surprendre, n’en séduit pas moins »
– Le Monde de la Musique – juin 1991
« Brahms magnifié par deux solistes : une version quasi idéale de ces œuvres. Une expressivité sensuelle, unique. Le violoncelle chante avec une densité exceptionnelle. Le piano ajoute sa voix à celle du violoncelle dans un dialogue extraordinaire »
– Classic No 8 – juin 1991