« Une élève de Rostro en vedette… Annoncer qu’elle se place d’emblée à l’égal des plus grands noms de violoncelle ne dirait rien de son émouvante sensibilité, de la magnifique évidence de ses interprétations, de sa présence, vertigineuse – et qui saisit, dès le premier coup d’archet. Suzanne Ramon a un violoncelle sous les doigts, un violoncelle dans le cœur »
– Théâtre des Champs Elysées – Y.R.
« ’Standing ovation’ pour Suzanne Ramon à Tel Aviv »
– Jerusalem Post – 24 janvier 2012
« Suzanne Ramon s’est imposée sur la scène internationale comme l’une des violoncellistes les plus sensibles et les plus douée de sa génération »
– ClassiqueNews.com – 25 février 2008
« C’est la carrière internationale qu’accomplira Suzanne Ramon avec d’autres rencontres – Menuhin, Fournier, Rostropovitch – qui contribuera à faire d’elle la star qu’elle est aujourd’hui devenue »
– Le Parisien – 1 mars 2008
« Suzanne Ramon est une violoncelliste de haute volée, au jeu précis et charmeur, aux intuitions lyriques, aux audaces maîtrisées… L’entendre jouer le Concerto pour violoncelle de Dvorak est un enchantement »
– La Croix – février 2009
« Ce récital stupéfie par son intelligence musicale, et l’engagement de la soliste Suzanne Ramon. ….Le souffle, la tenue de la ligne, le sens des phrasées, les intentions cachées, le murmure offert, dévoilé comme une confession à l’adresse du public, témoignent d’un tempérament à part. Force est de s’incliner devant le somptueux engagement de la violoncelliste »
– Classiquenews.com – 3 janvier 2007
« Une immense violoncelliste… une personnalité puissamment originale, marquée par une poétique incroyablement perspicace de la plastique sonore. La plus magistrale vertu de cette artiste est autant pétrie de sincérité sans apprêt que d’intransigeance »
– Centre France – 7 janvier 2007
« …son tempérament de feu, la largeur de ses nobles phrasés, le souffle qui se dégage de son jeu, sa sonorité chaude et profonde, …elle donne une interprétation magistralement contrôlée du point de vue technique qui surprend par son intensité, sa fougue et la place accordée à la pulsation »
– Classica – avril 2007
« Une version flamboyante du Concerto de Dvorak. On est d’emblée frappé par l’énergie que Suzanne Ramon insuffle à ce Concerto qu’elle aborde avec une ferveur et une générosité de son qui ne va jamais faiblir…une sensibilité à fleur d’archet et une propension à chanter à cœur ouvert que l’on retrouve dans l’émouvant deuxième mouvement, alors que l’allure rapsodique du troisième fait jaillir des couleurs très différenciées que l’orchestre rehausse dans un dialogue d’une grande vivacité.
On reste dans la veine lyrique et la tradition romantique avec Cantabile pour violoncelle et orchestre de Serge Kaufmann, première pièce d’un cycle de trois « chants » dédiée à Suzanne Ramon, mettant en valeur la sonorité ronde et ambrée du Guarnerius de l’interprète qui sollicite ici toute la puissance de son lyrisme intérieur »
– ResMusica.com – 22 mars 2007
« Suzanne Ramon, l’une des découvertes les plus impressionnantes de ces dernières années. Une ampleur et une profondeur dignes de Rostropovitch »
– FigaroScope – 27 février 2008
« Sa rigueur artistique, son refus de la compromission et sa probité font que Suzanne Ramon est une artiste hors de notre temps. Elle mène une carrière aussi sûre que la musicalité de son jeu »
– L’arche No 597 – Février 2008
« Ce qui fait de Suzanne Ramon une exceptionnelle artiste, ce n’est pas seulement sa parfaite maîtrise de la technique ou la sonorité d’orgue de son violoncelle, un Guarnerius 1690. C’est cet engagement total du jeu, ce fantastique corps à corps avec le son »
– L’Évènement du Jeudi – 26 septembre 1991
« She re-created the music instead of merely reproducing it… virtuoso flamboyance »
– The Times – 24 mars 1976
« Suzanne Ramon, l’une des plus étonnantes violoncelliste de notre époque… Tout semble naturel avec cette virtuose hors classe dont l’interprétation vient du plus profond de l’être et dont le tempérament de feu fait prendre le Concerto de Sir Edward Elgar pour un des grands concertos du répertoire »
– Le Tout Lyon – 13 novembre 1992
« Suzanne Ramon joue avec l’engagement physique et la subtilité de Jacqueline du Près, la même intensité musicale qui ne doit rien à l’esbroufe et tout à une concentration quasi minérale. Le grain de sa sonorité émeut naturellement. Rien n’est indifférent dans cette interprétation si inspirée… Il est des musiciens admirés par leurs confrères »
– Le Monde – 21 avril 1991
‘L’archet de Suzanne Ramon’
« une artiste de cette pointure… une sacrée technique enrichie d’une superbe sonorité, profonde et généreuse »
– Lyon Matin – 9 novembre 1992
« Suzanne Ramon un pur sang qui en veut… … Elle nous le prouve ici, elle est, sans conteste, une forte personnalité : son allant, sa témérité, son expressivité font rage dans ce Brahms – qui ne demande que ça. …. Une interprétation haute en couleurs, haute en amour, haute en joie. … Avec Ramon et Collard, on pleure, on rit, on chante, on danse et Brahms tombe la veste et enlace ses deux belles interprètes »
– Télérama – 15 mai 1991
« La pulsation dramatique, l’emportement survolté, les phrasés richement habités au romantisme délibérément assumé, la musicalité, la richesse des nuances, la largeur du souffle, tout s’impose dans le jeu de Suzanne Ramon, bousculant les habitudes, avec une charge émotionnelle peu commune »
– Le Guide du disque compacte classique – 1991
« La révélation d’une violoncelliste extraordinaire. Une technique confondante, mais qui s’efface derrière la musicalité – absolue -, une sonorité richissime, mais surtout une présence, une fougue, un tempérament de flamme »
– Télérama Classique – 11 juin 1981
« One of the most brilliant young cellist to rise international fame in the last decade … In fact the soloist, Suzanne Ramon, played with considerable virtuosity and spirit… an interpretation of spiritual inwardness and controlled lyricism »
– The Daily Telegraph – 1 décembre 1977
« La violoncelliste Suzanne Ramon, dotée d’un tempérament ardent, interprète le concerto de Dvorak avec une sensibilité à fleur de peau. Tour à tour tendre et héroïque, elle restitue à cette partition pittoresque toute sa force d’inspiration et la mélancolie de sa veine mélodique »
– Le Figaro – 23 janvier 1969
« Suzanne Ramon chose a solid, interesting program for her American début last Saturday at Carnegie Hall, and on the whole she did justice. She has a full pugnent tone, a lively sense of rhythm and generally sound musical instincts. A wonderful and interesting performance »
-New York Times – 25 mars 1974
« Sonorités superbes, phrases convaincantes, indiscutable sensibilité. Toutes ces qualités ont fait de la première Sonate de Brahms une superbe leçon »